Sophie sarraut

Je suis psychologue clinicienne depuis 2002. Mon expérience professionnelle a été principalement en CSAPA (Centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie) : expériences enrichissantes au travers des parcours de vie très différents m’amenant à toujours renforcer ma pratique thérapeutique. J’ai exercé en libéral de 2010 à 2015 proposant des psychothérapies individuelles, de couple et de famille. Je rencontrais également les couples en parcours PMA et les personnes devant subir une chirurgie gastrique. J’ai également été experte auprès du Tribunal de Grande Instance de Valenciennes. Mon parcours professionnel et ma vie personnelle m’ont amené à devoir quitter cette activité en libéral et à me recentrer sur mon activité salariée. Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir revenir à cette activité libérale qui me manquait tant. Je me propose de travailler avec vous sur les problématiques de la vie, les difficultés ponctuelles ou récurrentes que vous rencontrez et que vous pensez ne pas pouvoir surmonter seul(e). Parfois, un échange extérieur, neutre, professionnel, peut donner des outils pour avancer là où on se croit coincé. Faire la démarche d’aller voir un psychologue ne signifie pas que vous ayez un problème mais plutôt que vous vivez quelque chose qui pose problème et cela arrive à tout à chacun. Il n’est pas simple de passer le pas et de prendre rendez-vous avec un psychologue mais dites-vous que notre métier c’est d’être présent, dans l’écoute bienveillante et sans jugement. J’ai pour habitude de dire à mes patients que « son psychologue on le choisit », alors c’est vous qui gérez : vous être libre de ne pas revenir si je ne vous conviens pas, libre de choisir le rythme des rencontres en fonction de ce qu’elles vous apportent, libre de prendre soin de vous. A propos des annonces gouvernementales sur le remboursement des consultations psychologique : je tiens à informer ma patientèle que je ne ferais pas partie des psychologues conventionnés. Ma décision relève du fait que le dispositif proposé est maltraitant tant pour les patients que pour notre profession et je me refuse de participer à ce dénigrement de la souffrance psychique et des soins.