Dr Frank BELLAICHE

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Présentation

Psychiatrie et psychanalyse …: j’ai débuté ma spécialisation en psychiatrie en entamant de concert un long parcours analytique dans le sillage de la Société Psychanalytique de Paris, tout en étant séduit par le "gongorisme" lacanien, avec des incursions en parallèle, dans le monde de l'anthropologie - celle du "proche" en suivant les enseignements du Pr P. Dibie et celle des terrains amazoniens avec le Pr P. Deshayes, pour logiquement aller regarder un temps du côté de l'ethnopsychiatrie avec le Pr. T. Nathan, sortant des sentiers battus de la doxa psy régnante... J'avais été préalablement sensibilisé à la "question de l'Autre" pour reprendre l'expression du philosophe J. Rogozinski, par mes appétences philosophantes, incidemment phénoménologiques, et profondément nourri par un souci éthique sous-tendu par la philosophie d'E. Lévinas et son "humanisme de l'autre homme"... lors de mes études de médecine et au commencement de mon internat, répugnant à l'"étantification" de l'autre sous ses guises médicopsychiatriques ou même tapies sous le voile néostructuraliste lacanien… J'ai ainsi obtenu un DEA ( master 2) en psychologie clinique ou plus exactement alors intitulé "psychopathologie de l'influence", et ai entendu à l'époque (1995) dans la bouche du Maître, quand la psychanalyse régnait encore en quasi solo dans le champ médiatico-culturel et bien sur psychiatrique, - que son heure était pourtant terminée... J'ai collaboré à diverses revues avant de prendre la direction pendant plusieurs années d'un mensuel de psychiatrie, où j'y ai y insufflé avec quelque audace une approche plurielle ( anthropologie, philosophie, psychanalyse) décentrée de la psychiatrie biologique qui commençait à tailler ses quartiers... Par la suite, investi dans la considération de toutes formes de maltraitances, et notamment de violences "psychologiques" qui sont encore elles, majoritairement déniées même par les professionnels concernés, je me suis rapproché du groupe de la SPP où s'est élaborée la notion promise à un certain succès de "perversion narcissique" dans le sillage de P-CL. Racamier et A. Eiguer. Cela m'a conduit à remonter le fil d'une certaine psychanalyse américaine, très peu connue en France, en commençant par H. Kohut, à l'origine du changement de cap opéré aux USA, de la psychanalyse, et de son rapprochement décisif avec la théorie janétienne, autrement dit aussi des théories du trauma en vogue aux USA depuis plus de 50 ans... Tres logiquement, nourri des approches neuropsychanalytiques ou neurobiologiques d'A. Schore, de D. Siegel et bien d'autres chercheurs majeurs, passionné également par les travaux de B. Van der Kolk alors eux aussi non encore traduits, j'ai décidé de me former en 2020, en thérapie LI-ICV, en grande part alignée sur un plan épistémologique avec les thèses de ces chercheurs, et qui me semble davantage susceptible à présent, d'apporter des changements qualitatifs profonds et importants, parfois rapides dans la vie des patients, ce de manière tout à fait convaincante. J'ai récemment publié un essai en 2023 - Psymulacres - Visages de la Perversion, Ed Ovadia - centré sur les violences sexuelles et les relations d'emprise, y décrivant notamment la collusion étrange et finalement logique des pouvoirs judiciaires et socioéducatifs en leur état d'impréparation et de médiocrité usuellement occulté, "experts" compris - avec les agresseurs - , produisant des effets obligés et tragiques de retraumatisation des victimes. Il ne suffit pas de donner des mots d'ordre au niveau politique, pour que ceux-ci soient suivis d'effets dans les tribunaux... Nombre de "victimes" abusées, ou violées ne veulent plus porter plainte sachant par avance le dédale traumatique institutionnel dans lequel elles seront contraintes de passer. Il est aussi absolument déplorable et nécessaire de constater qu'aujourd'hui encore, l'interpellation de l'institution judiciaire pour une dénonciation de faits de maltraitances chroniques sur enfant, du registre de l'emprise, voire de l'aliénation parentale, - est susceptible de ne donner lieu et notamment dans le sud de la France, à aucune enquête approfondie, à aucune évaluation clinique spécifique par des acteurs du champ psy (psychologues et psychiatres - qui restent dans leur ensemble, extrêmement mal formés à cette clinique très spécifique) et notamment au sein des structures vouées, parait-il, à la "protection de l'enfance" ( système en échec comme le dénonce depuis des années le Pr M. Berger) mais pourtant dûment interpellées sur le sujet. Les directives judiciaires comme les voies du Seigneur restent impénétrables... comme leurs acteurs, aussi irresponsables, qu'intouchables, puisque - protégés, eux... D'où la persistance de cette forme d'incurie. -------- Je reçois donc à présent surtout des femmes et des hommes - ayant traversé des épreuves possiblement traumatiques ( burn out, souffrance au travail, ruptures relationnelles, relations toxiques ou d’emprise perverse, maltraitances diverses, et autres traumas « simples »,  « developpementaux » ou « complexes ») et - désireux de faire un travail en thérapie, en leur proposant soit un dispositif classique (thérapie verbale) soit en neurothérapie LI- ICV, privilégiant au coeur de mon approche une visée de "dépathologisation" et de destigmatisation du mal-être... -------- Les tarifs mentionnés ici sont donnés à titre indicatif et sont variables en fonction de la couverture proposée par les mutuelles de santé. Pour les séances d' ICV, certains patients en difficultés financières, n'auront pas d'honoraires à régler. -------- La durée des séances :- - consultation de psychiatrie : 20 minutes, - thérapie verbale : 30 à 40min, - ICV : 45 min à 1H15.

Horaires et coordonnées

Tarifs

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  Patient suivi - Consultation vidéo100 € à 130 €

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  Consultation - Séance ICV psychotrauma100 € à 130 €

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  Nouveau patient - Consultation vidéo100 € à 130 €

Ces honoraires vous sont communiqués à titre indicatif par le soignant. Ils peuvent varier selon le type de soins finalement réalisés en cabinet, le nombre de consultations et les actes additionnels nécessaires. En cas de dépassement des tarifs, le soignant doit en avertir préalablement le patient.

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