Anna Ivanov

Psychologue clinicienne diplômée d'État, je suis spécialisée dans la prise en charge de la souffrance psychique d'adolescents, de jeunes adultes et d'adultes. Également titulaire du D.U. "Psychologie projective" de l'université Paris Descartes, je propose le passage de bilans psychologiques (enfants, adolescents et adultes). Les psychothérapies sont en face-à-face et personnalisées, c'est-à-dire adaptées aux besoins spécifiques et à la problématique de chaque personne. Lors d'une première rencontre, j'évalue la nécessité d'entamer une thérapie. Si c'est le cas, nous convenons ensemble de la fréquence des séances. Chaque bilan psychologique est également personnalisé, en fonction de sa visée (mise en lumière des ressources, fragilités de la personne, affinement de diagnostic psychiatrique) et des particularités du sujet. Toutefois, il se compose toujours d'un socle de trois tests (un test d'efficience intellectuelle et deux tests de personnalité) et cela nécessite 3 à 4 séances. Quels sont les motifs qui peuvent vous amener à me consulter ? - le désir de mieux se connaître soi-même ; - des difficultés générant une souffrance psychique ; - des difficultés liées à des événements de vie (grossesse, séparation, deuil, maladie, handicap) ; - des difficultés liées à la vie professionnelle (harcèlement au travail, burn-out, chômage) ; - des difficultés liées à la sphère relationnelle amoureuse, amicale, familiale (échecs amoureux récurrents, relations toxiques, conflits familiaux, secrets de famille, amitiés problématiques, difficultés à s'exprimer en public, isolement social) ; - des troubles de l'humeur (perte du désir et du plaisir, tristesse, dépression, trouble bipolaire) ; - des troubles anxio-dépressifs (anxiété diffuse, crises d'angoisse, attaques de panique, troubles psychosomatiques) ; - des troubles obsessionnels compulsifs (des pensées envahissantes générant peurs et angoisses, des compulsions, comme une envie irrépressible de réaliser des gestes répétitifs ou des actes mentaux, comme compter, réciter des phrases) ; - des phobies (agoraphobie, claustrophobie, phobie scolaire, sociale) - des troubles du comportement alimentaire (hyperphagie, boulimie, anorexie) ; - des troubles de la personnalité narcissique, limite (borderline). Dans tous les cas, je vous offre un espace de parole libre et une écoute empathique et sans jugement, basée sur l'attention particulièrement portée à l'association libre de vos idées et de votre subjectivité. Je suis tenue au respect du secret professionnel (code de déontologie des psychologues) qui vous garantit anonymat et confidentialité. Adolescents. Pourquoi consulter un psychologue spécialisé dans l'adolescence pour votre enfant ? Le psychologue spécialisé dans l'adolescence, grâce à sa formation, est en capacité de prendre en compte les spécificités du travail psychique adolescent fort complexe. À cet âge, le psychisme en construction est caractérisé par un dynamisme important. De ce fait, chez les adolescents, certains troubles peuvent se manifester de façon atypique. Des manifestations psychiques ou comportementales très bruyantes, voire spectaculaires, peuvent s'amender en quelques séances. Au contraire, certains signes très discrets peuvent révéler des troubles nécessitant, à cet âge, une attention particulière et une prise en charge rapide. Que veut dire psychologue spécialisé dans l'adolescence ? Cela veut dire qu’au cours de sa formation, le psychologue a choisi de suivre un parcours avec des options spécifiques du champ de l’adolescence, et/ou a fait des stages dans des services accueillant cette tranche d’âge, et/ou a travaillé avec des adolescents/jeunes adultes, ce qui lui a permis d’acquérir une méthode de travail adaptée aux particularités de ces patients. Quand consulter ? Lorsqu'il y a une souffrance : - soit exprimée par la parole ("Je suis nul", "Je suis moche", "Je sers à rien", etc.) ; - soit (le plus souvent) exprimée par l'humeur et/ou les comportements qui prennent, à l'adolescence, diverses formes et qui doivent toujours être considérés comme l'expression symptomatique d'une souffrance dont parfois l'adolescent n'a pas clairement conscience lui-même. Cela peut être : - une humeur morose récurrente, un repli, une chute des résultats scolaires, etc. ; - un refus excessif de l'autorité accompagné d'agressivité, fugues, déscolarisation, etc. ; - un comportement auto agressif, comme des scarifications, des comportements à risques (coma éthylique, conduite d'un deux-roues sans casque, excès de vitesse, sports extrêmes, relations sexuelles non protégées, etc.), des tentatives de suicide, etc. ; - des addictions diverses (à l'alcool, à la drogue, au sexe, aux jeux, aux écrans, etc.) ; - des troubles alimentaires ; - des angoisses ; - des phobies. La consultation avec l'adolescent. C'est une consultation en face-à-face qui se passe dans un échange dynamique. Comme avec les adultes, le psychologue est tenu au secret professionnel. Cela ne l'empêche pas, toutefois, de faire le point régulièrement, si nécessaire, avec les parents qui sont des acteurs majeurs du bien-être de l'adolescent. La psychothérapie de l'adolescent peut prendre diverses formes (soutien psychologique ponctuel, mensuel, consultations hebdomadaires, prise en charge par plusieurs professionnels, etc.). Jeunes adultes. La période "Jeune adulte" est le passage de l'adolescence à l'âge adulte. On se rend compte de plus en plus qu'à l'instar de l'adolescence, c'est une étape cruciale et spécifique de la construction de l'être humain. Le jeune adulte "prend son envol" (déménagement du domicile parental pour s'installer seul ou en couple, premier emploi, études, voyages à l'étranger, etc.). Si certains jeunes sont ravis de prendre leur indépendance, d'autres, au contraire, peuvent avoir du mal à assumer un tel changement. Des angoisses (anxiété diffuse, attaques de panique, etc.) et des mouvements dépressifs peuvent apparaître. Le modèle socio-culturel actuel prêchant réussite et performance à tout prix, mais aussi certains modèles éducatifs parentaux, peuvent exercer une pression trop forte sur le jeune adulte qui peut se sentir incapable d'atteindre un idéal trop exigeant. Peut alors s'enclencher une peur d'accéder au monde adulte, se traduisant de diverses façons : - des conduites de mise en danger ; - des conduites (inconscientes) d'auto-sabotage (échecs à répétition) ; - inhibition, repli, voire claustration au domicile (syndrome d'hikikomori) ; - des troubles des comportements alimentaires (hyperphagie, boulimie, anorexie, etc.) ; - des phobies (agoraphobie, claustrophobie, phobie sociale, etc.) ; - des troubles obsessionnels compulsifs, etc. Dans ce cas, une prise en charge s'avère nécessaire.