Maryse Le Bleiz

Psychologue clinicienne expérimentée, diplômée de l’Université Paris-Diderot, j’ai longtemps pratiqué dans le secteur hospitalier en pédopsychiatrie, en accueillant des tout-petits, des enfants, des adolescents et des parents en demande de soins psychiques. Je suis là pour accueillir toutes les demandes, qu’elles soient précises ou non, à court terme ou à long terme. Le cadre de la consultation est le lieu où chacun (à tout âge de la vie) peut venir (se) raconter tel qu’il ressent la vie avec les autres, à ce moment de son histoire, dans sa vie familiale, amoureuse, parentale ou dans sa vie d’enfant, petit ou adolescent, ou d’adulte. La démarche, quoique potentiellement soulageante et salutaire, ne va pas de soi. Elle n’est pas naturelle, car elle repose sur un sentiment de ne pas y arriver, flou ou précis, avoué ou pas. Mettre en question ses difficultés peut faire craindre de changer un équilibre, avec le sentiment d’avoir à y perdre dans une situation déjà anxiogène. C’est pour cela, qu’un élément déclencheur permet souvent de franchir le pas, comme : - les difficultés professionnelles exacerbées, les états anxieux inexpliqués, un deuil, une séparation, un échec, un traumatisme, des troubles de l’alimentation ou du sommeil, des problèmes somatiques légers, des maux de ventre, ou plus graves, des troubles réactionnels à des conflits anciens ou nouveaux non élucidés, un échec scolaire, des troubles de l’écriture, des troubles propres à l’enfance ou à l’adolescence, au vieillissement, etc. ; - la situation de pandémie a laissé des traces ou des impacts pour un grand nombre de personnes. Beaucoup ont éprouvé la nécessité de parler même s’ils n’ont pas été atteints par la maladie, chacun peut être atteint intimement, sans savoir réellement comment il est touché. Perte de repères, perte de confiance, sentiment d’être plus isolé, sentiment d’inquiétante étrangeté, sans recours, sans perspective, etc. - la parole, adressée à un professionnel de confiance attentif, est un premier levier pour accéder à soi-même, de même que le rêve. Il s’agit d’un travail, comme nous l’a appris Freud, psychique, d’un effort pour dire au plus près, avec ses mots, ce qui se passe quand on a un lieu d’adresse. Et pour les enfants, le dessin ou le jeu, le langage du corps seront un mode d’expression privilégié pour dire ce qui les préoccupent, ou les empêchent. À PARTIR DE JANVIER LES ENFANTS SERONT TOUS REÇUS À MON CABINET DU 12 eme, LES MERCREDIS OU JEUDIS, CERTAINS SAMEDIS MATIN, LE DISPOSITIF DE FONTENAY NE LE PERMETTANT PAS. Le dispositif pour les recevoir est celui-ci: les parents, les deux ou un parent, doivent prendre d’abord rendez-vous pour parler de ce qui mobilise leur inquiétude pour leur enfant, et d’un peu d’histoire des liens. Afin que dans un second temps, je puisse recevoir l’enfant autrement. Je reçois : - le mardi, le vendredi et certains samedis matin à Fontenay-sous-Bois. - le mercredi et le jeudi après-midi dans le 12e arrondissement à Paris. Vous pouvez aussi prendre directement rendez-vous en me contactant par téléphone, si cela est mieux pour vous. Maryse Le Bleiz, est aussi secrétariat du Conseil d’administration et membre actif de l’association de psychanalyse Le Cercle Freudien, Paris.